"Pour créer la grande
mosaïque murale "Rivière/comme un murmure " l’artiste s’est inspirée
d’une photo qu’elle a prise dans laquelle les reflets qui jouent sur les
ondulations produites par le vent créent un effet de morcellement. Mais, c’est
ce morcellement même qui paradoxalement nous donne l’impression de
contempler une terre desséchée."
Extrait du texte de Françoise Belu pour l'expostion "Ma terre, comme un
murmure".
Source: Marie-Andrée Côté
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